Percussionniste autodidacte, il se découvre en accompagnant des musiciens tels que Michel Petrucciani, Tony Bonfils, Daniel Huck, Lionel et Stéphane Belmondo, lors de diverses jam-sessions, et se forme ensuite en travaillant, depuis 1995, au sein de plusieurs groupes (reggae, chanson française, jazz-rock, salsa, afro-jazz, flamenco-jazz…)
Tout en continuant à développer sa pratique instrumentale autour des percussions digitales et mêlant toutes ses influences musicales, il travaille à la création de spectacles et contes pour enfants, parallèlement à son activité d’enseignant et d’intervenant musical.
Sa collaboration avec divers artistes, en France et à l’étranger, autour des danses et musiques de méditerranée l’amène à étudier les percussions propres à cette culture (tambours sur cadre, etc…). S’attachant de fait à la musique et la mixité populaires, il décide de développer ces deux aspects dans tous ses projets.
Dernièrement, il propose un répertoire alliant musiques traditionnelles populaires d’ici et d’ailleurs et musiques improvisées, regroupant plusieurs artistes ( musiciens, danseurs, jongleurs etc…) formant le collectif Motawosset.
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Formée en danse classique, contemporaine, et danse sacrée du Sama‘a (derviche tourneur). Elle a approfondi sa recherche du mouvement par la pratique de l’eutonie, du Yoga du son et de la danse thérapie : danse de l’être et danse biodynamique.
Interventions auprès de structures : associations, écoles en animation d’atelier et de cours de danse, centre anti-douleur de l’hôpital Saint-Jean de Dieu, pour préparer le corps à la médiation équine
Créations : Les petites larmes (2003), Qui entend le Jargon de l’oie (2007), L’histoire de Mushkil Gusha (2010), Hymne Végétal (2010), Le sable et l’écume (2012), L’aube de la Terre (2015), L’invasion des danseuses (2015), «j’ai du vent dans la tête » 2016, Danser les mots, hommage à Guillaume Apollinaire (2018), La fée aux gros yeux de George Sand (2019)
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